Premier volet d’une trilogie prometteuse. Roman frais et juste qui se lit en une traite. Les personnages attachants peuvent être mes filles ou mes copines… L’écriture suédoise est légère et drôle, parfois émouvante. Mon coup de cœur jusqu’ici. Je vais m’empresser de lire les suivants !

Nancy J.

Ce livre a été choisi dans le cadre du de l’été

Thème choisi : un livre dont je déteste la couverture

Entre Dieu et moi, c'est fini Couverture du livre Entre Dieu et moi, c'est fini
Katarina Mazetti
Actes sud
2011
poche
136

Linnea a seize ans, plein de complexes, et pas mal de questions qui lui trottent dans la tête. La seule qui la comprenait, c’était Pia. Sa meilleure amie, son amie pour la vie. Enfin, pour cent vingt jours, «sans compter les week-ends», Linnea a fait le calcul une fois. Maintenant que Pia est morte.

Avec Pia, elle pouvait parler de tout : de l’amour, de la mode, de Markus, le beau gosse dont toutes les filles rêvent, de son père qu’elle voit deux fois par an, de sa mère qui a une liaison tumultueuse. Et de Dieu. Qu’est-ce que ça signifie « croire en Dieu »? Car ce n’est pas exactement la même chose que le père Noël. Une chose est sûre, ce n’est pas la peine de compter sur Dieu pour résoudre les équations du second degré.

Seulement, voilà, Pia s’est jetée sous un train. Alors, Linnea se souvient, puisque comme dit son excentrique grand-mère, «pour pouvoir oublier quelque chose, il faut d’abord bien s’en souvenir».

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